En prise de parole comme en foot, allez droit au but !

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[vc_row][vc_column][dt_quote font_size= »normal »]fabrice daverioFabrice Daverio est Directeur Conseil et Stratégie Groupe ABILWAYS et Coach et formateur en communication d’influence[/dt_quote][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][dt_gap height= »20″][vc_column_text]Récemment, un ami est parti à la retraite. Il estimait à 90.000 le nombre de slides que ses collaborateurs lui avaient infligé tout au long de sa carrière. Pour son pot de départ, il a imaginé se venger en tenant un discours interminable et en projetant une bonne centaine de ces damnés slides…

 

Si vous voulez exceller en prise de parole, de grâce, allez à l’essentiel, dites peu de choses et dites les bien ! Vous gagnerez du temps et en ferez gagner à vos interlocuteurs. Concis, votre propos sera clair. En plus, vous passerez pour un bon orateur. Combien de slides ? Aucun, si possible. Sinon quelques-uns avec à chaque fois une idée clé et une illustration apportant un vrai complément à votre propos.

 

Comment aller droit au but ?

En déterminant votre objectif et en ne parlant que des éléments qui vous permettent de l’atteindre. Rien d’autre.

 

Tout cela est bien joli, mais que faire du trac qui vous fait perdre vos moyens ?

Très simple : en l’accueillant avec une grande inspiration, puis une grande expiration ! Le trac est une réaction physiologique normale. Si vous pensez à vous oxygéner, vous irez tout de suite mieux.

 

Combien de temps votre prise de parole doit-elle durer ?

Si possible entre 2 et 3 minutes. Au-delà, l’auditoire décroche.

 

Faut-il privilégier le fond du discours, sa forme ou les deux ?

Au début de ma carrière de formateur et coach, je prodiguais beaucoup de conseils sur le fond et sur la forme. Un bon discours passait forcément par une structuration précise, une gestuelle variée, un regard posé, un minimum de sourire. Aujourd’hui, j’ai tendance à résumer différemment : un objectif précis, une poursuite sans faille de cet objectif et un silence assumé après chaque idée clé. J’ajouterais simplement une présence pour ses interlocuteurs, une attention aux réactions de l’auditoire pour entrer en communication avec lui. Vous l’aurez compris, j’ai vieilli, j’ai aujourd’hui 48 ans et j’ai abandonné l’idée du discours parfait.  Je préfère le discours vivant.

 

Comment conclure ?

Par un « take home message », une formule que vos interlocuteurs emportent avec eux, retiennent facilement, ont envie de répéter.

 

 

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