Diplômée de Sciences-Po Paris, certifiée en MBTI, formée à l’Analyse Transactionnelle, elle bénéficie également d’un parcours de sportive et de danseuse (jusqu’au Diplôme d’Etat de Professeur de Danse).[/dt_quote][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]
Quelles qualités doit posséder une femme dirigeante ?
Je dirais les mêmes qu’un homme a priori : être capable de vision stratégique et de prise de décision dans la complexité, capacité à mobiliser les équipes autour de cette vision, d’affirmer son point de vue et donc de communiquer, maîtriser ses émotions…Tout ceci suppose une bonne dose d’énergie et de savoir doser l’effort. Donc, pour de nombreuses femmes qui essaient d’être présentes sur tous les fronts, de savoir gérer des frustrations.
Les femmes (en général) apportent de plus aux entreprises des qualités de communication sensible, de l’empathie et la recherche de l’harmonie collective, particulièrement précieuses pour l’entreprises.
Comment se sentir plus forte grâce au personal branding ?
Le « personal branding » suppose au préalable d’avoir fait le point sur ses objectifs personnels et professionnels, à court, moyen et surtout, long terme (ce que nous proposons aux dirigeantes que nous accompagnons dans leur démarche au CFPJ). Dans un dosage réaliste vie privée / vie professionnelle. A partir de là, on se sent définitivement légitime à communiquer en interne et vers l’extérieur sur ses ambitions.
Y a-t-il encore des obstacles à être une femme dirigeante ?
Les femmes sont encore trop souvent aux prises avec des messages intériorisés depuis leur plus tendre enfance : « fais plaisir » (et donc « ne demande pas », « ne refuse pas »…), « sois parfaite » (donc bonne élève puis bonne professionnelle, mais aussi bonne épouse et bonne maman…). Ces « drivers », positifs au départ, nous rendent aussi parfois l’accès à des fonctions de direction plus difficile. En effet, pour y parvenir, il faut savoir communiquer autour de ses souhaits et ambitions, refuser le poste qui ne nous convient pas au risque de déplaire, accepter de ne pas être parfaite partout et/ ou tout le temps. La place de chacun dans la famille et le couple doit être ré-envisagée le plus souvent, c’est une nécessité à laquelle renoncent parfois les femmes elles-mêmes… La plupart du temps, elles « n’osent » pas.
Quelles sont vos sources d’inspiration ?
Simone Veil, Sheryl Sandberg, Mercedes Erra, Anita Roddick
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